

Ce programme est conçu autour d’œuvres qui se correspondent par des affinités inattendues. Il prend racine au cœur du lyrisme de l’opéra et du bel canto et chemine vers l’évocation de couleurs mêlant synesthésie et ivresse.
- Sposa son disprezzata, Vivaldi
- Nocturne no 3 op. 9, Chopin
- La spagnola, Vicenzo di Chiara
- Chapelle de Guillaume Tell, Liszt
- Di piacer mi balza il cor, Rossini
- Jesus walking on the water Brown/Liszt
- Vocalise-étude en forme de habanera, Ravel
- Carmen, Bizet/Horowitz
- Les Filles de Cadix, Delibes
- Allegro de concert op.18 / Feuillet d'album op.54 Scriabine
- Vocalise, Messiaen
- Fontaine de sang / Flamme sombre, Blet
- La puerta del vino, Debussy
- Air de la griserie, la Périchole, Offenbach
Musicien toujours en recherche, Jonathan Bénichou s’imprègne tout au long de son parcours musical de l’héritage des écoles pianistiques françaises et russes dont il tire une synthèse personnelle, à l’image de ses origines, de cultures multiples.
Il est invité à se produire en récital et avec orchestre en France, par les Festivals renommés, Allemagne, Belgique, Ukraine, Russie, Tchéquie, Pologne, Moldavie, Transnistrie, Roumanie aux Etats Unies et en Colombie.
Attiré par la recherche de langages musicaux alternatifs, il compose la bande originale de divers courts-métrages et ne cesse d’approfondir de nouvelles idées sonores dans le cadre de projets multidisciplinaires. Il compose également des œuvres pour piano : Réminiscences, Suite "Transmutation", La Princesse exilée, Imploration, Fantaisie, Valse oubliée.
En musique de chambre, il joue régulièrement avec de nombreux partenaires avec qui il entretient une complicité qui le mène à se produire dans de nombreuses formations. Il poursuit un partenariat avec Hélios Azoulay et l’Ensemble de musique incidentale et joue des œuvres écrites dans les camps de concentration en se produisant en France, Allemagne, Belgique et participe à des émissions de radio et de télévision sur France Musique, RFI, Arte, Mezzo, Fr2, Fr3, ainsi qu’à l’étranger.
Depuis toujours passionné par la musique de son temps, Jonathan Benichou crée le concerto Carpe Diem de Sacha Chmykov, des pièces pour piano de Marc-Olivier Dupin à l’Auditorium du Louvre, pour L’Eneide de Virgile en collaboration avec la Comédie-Française, le quatuor pour clarinette, cordes et piano ‘Court Studies’ de Thomas Ades, ou encore la sonate ‘Le Rêve du monde’ d’Olivier Greif pour laquelle il collabore à l’édition avec la maison Symétrie et Il est invité à se produire dans la «Fantaisie concertante» pour piano et orchestre de Thierry Escaich